Anonymous ID: b516ea March 2, 2021, 10:38 a.m. No.13088260   🗄️.is 🔗kun   >>8395 >>9480 >>8445 >>9940

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''Nous rendons publique la liste des 50 premiers donateurs d’En Marche, mouvement politique créé par l’alors ministre de l’économie Emmanuel Macron avec l’aide de quelques banquiers et personnels de Bercy, recrutés et rémunérés par l’argent du contribuable afin d’aider à la promotion du candidat.

 

Ces cinquante personnes ont toutes contribué à la création du mouvement plusieurs mois avant l’annonce de sa création. Parmi eux apparaissent certains des personnages clefs du quinquennat, récompensés pour leur générosité.

 

Ainsi de Dominique Boutonnat, donateur de 7500 euros, propulsé à la tête du CNC (Centre national de la cinématographie) trois ans plus tard malgré l’indignation générale, et par la suite maintenu en poste malgré sa mise en examen pour viols et pédophilie. M.Boutonnat, outre son don, avait organisé une collecte de fonds au sein du siège de Rothschild, ancien employeur de M. Macron, lors d’une soirée avec champagne à volonté financée par ce dernier.

 

Du père d’Ismaël Emelien, ex-employeur de Stanislas Guérini et dont le recrutement du fils au ministère de l’économie par Emmanuel Macron permettrait à ce dernier, en contravention avec toutes les règles déontologiques et légales applicables, d’utiliser les moyens du ministère pour se mettre au service du candidat – tandis que sa conjointe travaillait chez Havas, entreprise qui serait chargée de l’organisation d’un déplacement pré-éléctoral à Las Vegas intégralement financé par Business France, alors dirigé par Muriel Pénicaud – aux de Rothschild en passant par Nicole Notat, pilier du Siècle chargée notamment par Emmanuel Macron du Ségur de la Santé – cette liste offre un accès inestimable aux coulisses du premier entresoi qui a permis à M. Macron, avec l’aide des oligarques Bernard Arnault, Xavier Niel et Arnaud Lagardère dont l’appui précieux aura été négocié avec Nicolas Sarkozy, de se voir, du jour au lendemain, propulsé au cœur du pouvoir afin de défendre les intérêts d’un « Petit Paris » dont les candidats s’étaient soudain effondrés.

 

On y découvre des personnages peu connus du grand public, comme Nicolas Dmitrieff, président du directoire du conglomérat CNIM, entreprise clef du complexe industrialo-militaire, sauvée par l’Etat de la faillite suite à l’intervention de l’Élysée en novembre 2020. En échange de services rendus ? La question peut dorénavant être posée, d’autant plus que cet apport personnel du président du directoire du groupe à un stade particulièrement précoce de la campagne n’a selon toute vraisemblance pas été la seule contribution du conglomérat au financement de celle-ci.

 

Les liens entre les filiales chinoises et les voyages d’un certain Alexandre Benalla ont-ils été volontairement passés sous silence depuis plusieurs années ? Il apparaît en toutes circonstances que quelques mois avant son sauvetage par l’Etat, le groupe recrutait au poste de directeur général un autre « grand donateur » du mouvement En Marche, apparaissant sur nos listes, Louis-Roch Burgard, contributeur au maximum du plafond légal à la campagne de M. Macron.

 

Seules les personnes ayant donné plus de 1000 euros sont ici répertoriées. Deux mois avant le meeting de la mutualité qui lancerait officiellement le mouvement, 2450 autres, la quasi-totalité vivant dans les beaux quartiers parisiens, avaient déjà donné au candidat. Nous avons décidé à ce stade de ne pas rendre publique leur identité. Parmi eux, outre le père de M. Emelien, quatre Trogneux, un certain Gérard Dargnat – père de Christian Dargnat, ponte de la BNP et véritable organisateur du financement de la campagne d’Emmanuel Macron – mais aussi une multiplicité d’autres parents de très proches du candidat, servant de paravents à des dons qui autrement auraient pu se révéler gênants ou illégaux.

 

La liste infinie de réseaux enchevêtrés donne une idée de l’importance que cet appui initial a pu représenter. Certains donateurs semblent ainsi avoir été récompensés de façon modeste bien que décisive. Ainsi de Gaël Duval, nommé au Conseil national du numérique après avoir donné 7500 euros. Des noms inconnus comme Olivier Pecoux montrent quant à eux l’emprise de la banque, et en particulier d’une banque, sur l’alors naissant candidat: directeur général de Rothschild, il accompagne au sommet de cette liste son associé gérant Brice Lemmomier ainsi que deux des enfants de David de Rothschild, Alexandre et Louise, aux côtés de certain des avocats d’affaires les plus sulfureux du pays, comme Jean Reinhart, ainsi qu’une pelletée de banquiers d’affaires et de spécialistes de fusions acquisitions.''

Anonymous ID: b516ea March 2, 2021, 10:39 a.m. No.13088395   🗄️.is 🔗kun   >>9480 >>8445 >>9940

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''97 000 autre personnes ont rejoint ces 50 premiers donateurs dans les mois qui suivraient. Parmi elles, 800 seulement apportèrent la moitié des fonds de la campagne et permirent, avec des aides plus indirectes, dont celle d’Unibail – qui offrirait des rabais sur les meetings, Porte de Versailles notamment, grâce à l’entregens d’un certain Benjamin Griveaux, qui y avait opportunément pantouflé après avoir, avec Gabriel Attal, Jérôme Salomon et Olivier Véran, utilisé les moyens du ministère de la santé, au sein du cabinet de Marisol Touraine, pour aider leur candidat tandis que partout les coupes en ce ministère affleuraient – l’élection d’Emmanuel Macron. Alors que Paris intramuros ne représente que 4% de la population Française, la moitié des fonds de cette campagne auront été apportés par des personnes y ayant leur domicile – dont la moitié dans ses plus beaux arrondissements – l’autre grande majorité provenant de levées de fond menées auprès d’expatriés et de membres de l’élite financière à l’étranger.

 

Bien que quelques journalistes aient eu accès à ces informations – notamment La Lettre A qui a fait l’objet d’une procédure judiciaire enclenchée par le parti En Marche pour en avoir rendu publiques quelques bribes – et que la liste complète de donateurs a fait l’objet d’un traitement par le CNCCFP, ces noms n’ont jamais été rendus publics.

 

Ils offrent pourtant à l’ensemble des journalistes, citoyens et chercheurs de ce pays une ressource essentielle pour comprendre, analyser et décortiquer le premier cercle financier et politique ayant enfanté dans le secret la candidature du futur Président de la République, des mois avant que les français n’en soient informés.

 

ALAZARD

 

Philippe

 

ALLART

 

Jean-François

 

AYTON

 

Véronique

 

BARIL

 

Laurent

 

BOUNOURE

 

Denis

 

BOUTONNAT

 

Dominique

 

BRET

 

Arnaud

 

BURGARD

 

Louis-Roch

 

CHARDOILLET

 

Hélène

 

CHARLIN

 

Guillaume

 

CONSTANZA

 

Jean-Louis et Anne-Laure

 

CRAQUELIN

 

Marc

 

D’ANGELIN

 

Cécile et Benoit

 

D’HALLEWIN

 

Bernard

 

D’HALLEWIN

 

Bernard

 

DARGNAT

 

Gérard

 

DAUTRESME

 

David

 

DAVID

 

Gilles

 

DE BUFFEVENT

 

Stéphanie

 

DE MONT-MARIN

 

Cyril

 

DE ROTHSCHILD

 

Louise

 

DE ROTHSCHILD

 

Alexandre

 

DMITRIEFF

 

Nicolas

 

DUVAL

 

Gaël

 

EMELIEN

 

Jean-Pascal

 

FALLER

 

Denis

 

FARGEON

 

Sylvain

 

FLEUROT

 

Olivier

 

GALLIENNE

 

Ian

 

GENDRY

 

Luce

 

GERBI

 

Arthur

 

GIOVANSILI

 

Florence et Frédéric

 

GIQUELLO

 

Alexandre

 

GROYER

 

Sébastien

 

JAIS

 

Patrick

 

KOBAR

 

Ibrahima

 

LARUE

 

Fabrice

 

LE MENESTREL

 

Didier

 

LEMONNIER

 

Brice

 

LOY

 

Marc

 

MAROIS

 

Jean-Pierre

 

MASSET

 

Astrid

 

MASSIERA

 

Alain

 

MIQUEL

 

François

 

NOTAT

 

Nicole

 

PECOUX

 

Olivier

 

REINHART

 

Jean

 

RIAL

 

Jean-François

 

WAHNICH

 

Gilbert

 

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