Anonymous ID: f9ca47 March 21, 2021, 10:34 a.m. No.13269006   🗄️.is 🔗kun

The website helping to sell homes with a bloody past

By Megan Janetsky

Medellín

 

The property ads pop up like they would on any other real estate website.

 

A three-bed, two-bathroom apartment with a turquoise pool for rent on Colombia's Caribbean coast. A four-bedroom, four-bathroom wood-floored house near the jungle-cloaked Panama border. A sprawling Art Deco mansion in the heart of Colombia's second biggest city, Medellín.

 

There is just one catch: the homes for sale were once owned by former right-wing paramilitaries and left-wing guerrillas of the Revolutionary Armed Forces of Colombia (Farc) who fought each other during Colombia's decades of armed conflict.

 

In February, Colombia's government launched an online real estate agency, Bienes FRV (Spanish for Real Estate FRV), in an attempt to sell over 1,600 homes, apartments, farms and lots of land which have either been seized by the government or handed over by armed groups that have demobilised over the past years.

 

The money earned from the properties, estimated to be worth about $140.3m (£100m), will go towards paying reparations to more than seven million victims of the armed conflict.

 

But while cash and gold handed over as part of the peace process are easy to convert into funds for the victims, some of the houses and apartments have been "impossible" to sell or rent, explains Miguel Avendaño, who heads the reparation fund for Colombia's Victims' Unit.

 

"The fund needed something like a real estate service," Mr Avendaño said. "We can't just lag behind because there were so few sales and rentals. [Having this service] means more resources for victims."

 

Since it started putting properties on the market in 2018, the Victims' Unit has only managed to sell 12 properties formerly owned by combatants.

 

Mr Avendaño explains that the estate agency is an attempt to add transparency to sales while shifting the narrative of the properties away from their bloody past and toward reparations as the country struggles to heal.

 

Many of the properties are located in rural areas where the conflict still rages five years after Farc guerrillas signed the peace deal with the government.

 

Others may be in more secure areas but continue to be overshadowed by their violent history, such as Montecasino Mansion, in Medellín.

 

The marble-lined mansion sits in the heart of the dense, mountainous city, and is up for rent for $4,700 (£3,385) a month. It boasts 12 rooms, 13 bathrooms, a spiral staircase, a lounge bar, a wine cellar, multiple pools and fountains, sprawling gardens and a gold-painted bathtub shaped like a conch shell.

 

The mansion's previous owners were founders of the now-demobilised right-wing paramilitary group United Self-Defense Forces of Colombia. The land it was built on was once the site of bloodshed and tragedy.

 

It was a meeting point where paramilitary bosses planned some of the worst atrocities of Colombia's long conflict, including bombings and massacres, where people were tortured and where some of the country's most feared hitmen were trained.

 

"It's a mansion that's unlike any other, on three hectares in the best neighbourhood in Medellín, yet it was impossible to sell," Mr Avendaño says of its dark past.

 

It took civil engineer Sergio Ortiz to see beyond its bloody history and to embrace the property's potential.

 

The 52-year-old, who says that his own family is a victim of the armed conflict, hopes to rent the property and transform the grounds into an exercise space and park open to the public.

 

If their bid for the property is accepted, Mr Ortiz's family want to turn the mansion into a physical therapy centre and an adjacent building into a music centre.

 

He says their plan is to employ fellow victims of the conflict and "move forward" from the past.

 

"What we want to offer citizens is a space for sports and recreation," Mr Ortiz says as he walks through the overgrown gardens and luxurious - though deteriorating - hallways of the mansion.

 

"This is our way of helping our country, by generating a space of peace and calm."

 

But while properties in bigger cities may be relatively safe, buying land in areas where dissident armed groups continue to operate and there is little state presence can be risky and even equal with having a "death wish" says Elizabeth Dickinson, a senior analyst with Crisis Group in Colombia.

 

"Everyone knows who they used to belong to and, of course, there are some sentiments in those areas of who they still really belong to," Ms Dickinson explains.

 

There have been instances where renters have been forced out of their new homes and others where potential buyers have been threatened and backed out.

 

More at:

https://www.bbc.com/news/world-latin-america-56428980

Anonymous ID: f9ca47 March 21, 2021, 10:37 a.m. No.13269015   🗄️.is 🔗kun

Le site web aidant à vendre des maisons avec un passé sanglant

Par Megan Janetsky

Medellín

Les annonces de propriété apparaissent comme elles le feraient sur n’importe quel autre site web d’immobiliers.

Un appartement de trois lits et deux salles de bains avec une piscine turquoise à louer sur la côte caraïbe de la Colombie. Une maison de quatre chambres à coucher, quatre salles de bains au plancher de bois près de la frontière du Panama recouverte de jungle. Un immense manoir Art Déco au cœur de la deuxième plus grande ville de Colombie, Medellín.

Il n’y a qu’un seul hic : les maisons à vendre appartenaient autrefois à d’anciens paramilitaires de droite et à des guérilleros de gauche des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) qui se sont affrontés pendant les décennies de conflit armé en Colombie.

En février, le gouvernement colombien a lancé une agence immobilière en ligne, Bienes FRV (Spanish for Real Estate FRV), dans le but de vendre plus de 1 600 maisons, appartements, fermes et lots de terres qui ont été saisis par le gouvernement ou remis par des groupes armés qui se sont démobilisés au cours des dernières années.

L’argent gagné à partir des propriétés, estimée à environ 140,3 millions de dollars (100 millions de livres sterling), ira à payer des réparations à plus de sept millions de victimes du conflit armé.

Mais si l’argent et l’or remis dans le cadre du processus de paix sont faciles à convertir en fonds pour les victimes, certaines maisons et appartements ont été « impossibles » à vendre ou à louer, explique Miguel Avendaño, qui dirige le fonds de réparation de l’Unité colombienne des victimes.

« Le fonds avait besoin de quelque chose comme un service immobilier », a déclaré M. Avendaño. « Nous ne pouvons pas simplement être à la traîne parce qu’il y avait si peu de ventes et de locations. [Avoir ce service] signifie plus de ressources pour les victimes.

Depuis qu’elle a commencé à mettre des propriétés sur le marché en 2018, l’Unité des victimes n’a réussi à vendre que 12 propriétés autrefois détenues par des combattants.

M. Avendaño explique que l’agence immobilière est une tentative d’ajouter de la transparence aux ventes tout en déplaçant le récit des propriétés loin de leur passé sanglant et vers des réparations que le pays lutte pour guérir.

Beaucoup de propriétés sont situées dans les zones rurales où le conflit fait toujours rage cinq ans après que la guérilla des Farc a signé l’accord de paix avec le gouvernement.

D’autres se trouve peut-être dans des zones plus sûres, mais continuent d’être éclipsées par leur histoire violente, comme le manoir Montecasino, à Medellín.

Le manoir bordé de marbre se trouve au cœur de la ville dense et montagneuse, et est à louer pour 4700 $ (£ 3385) par mois. Il dispose de 12 chambres, 13 salles de bains, un escalier en colimaçon, un bar-salon, une cave à vin, de multiples piscines et fontaines, des jardins tentaculaires et une baignoire peinte en or en forme de coquille de conque.

Les anciens propriétaires du manoir étaient les fondateurs du groupe paramilitaire d’extrême droite, aujourd’hui démobilisé, United Self-Defense Forces of Colombia. Le terrain sur qui il a été construit était autrefois le site de l’effusion de sang et de la tragédie.

C’était un point de rencontre où les chefs paramilitaires planaient certaines des pires atrocités du long conflit colombien, y compris les bombardements et les massacres, où des personnes ont été torturées et où certains des hitmen les plus redoutés du pays ont été formés.

« C’est un manoir qui ne ressemble à aucun autre, sur trois hectares dans le meilleur quartier de Medellín, mais il était impossible à vendre », dit M. Avendaño de son sombre passé.

Il a fallu l’ingénieur civil Sergio Ortiz pour voir au-delà de son histoire sanglante et d’embrasser le potentiel de la propriété.

L’homme de 52 ans, qui affirme que sa propre famille est victime du conflit armé, espère louer la propriété et transformer le terrain en un espace d’exercice et un parc ouvert au public.

Si leur offre pour la propriété est acceptée, la famille de M. Ortiz veut transformer le manoir en un centre de physiothérapie et un bâtiment adjacent en un centre de musique.

Il dit que leur plan est d’employer d’autres victimes du conflit et « aller de l’avant » du passé.

« Ce que nous voulons offrir aux citoyens est un espace pour les sports et les loisirs », dit M. Ortiz comme il se promène à travers les jardins envahis et luxueux - bien que la détérioration - couloirs de la maison.

Plus à:

https://www.bbc.com/news/world-latin-america-56428980

Anonymous ID: f9ca47 March 21, 2021, 12:37 p.m. No.13269660   🗄️.is 🔗kun   >>9681

Originally Q Research General #16809 >>13269604

 

Leftist Media Bias Is a Threat to Democracy, Judge Warns in Scathing Dissent

 

“The increased power of the press is so dangerous today because we are very close to one-party control of these institutions,” Silberman warned. “Our court was once concerned about the institutional consolidation of the press leading to a ‘bland and homogenous’ marketplace of ideas. It turns out that ideological consolidation of the press (helped along by economic consolidation) is the far greater threat.”

 

“Although the bias against the Republican Party—not just controversial individuals—is rather shocking today, this is not new; it is a long-term, secular trend going back at least to the ’70s. (I do not mean to defend or criticize the behavior of any particular politician). Two of the three most influential papers (at least historically), The New York Times and The Washington Post, are virtually Democratic Party broadsheets. And the news section of The Wall Street Journal leans in the same direction,” Silberman noted. He added that these papers set the “orientation” of coverage for the Associated Press and most large papers across the country.

 

“Nearly all television—network and cable—is a Democratic Party trumpet,” the judge added. “Even the government-supported National Public Radio follows along.”

 

Silberman also noted the tremendous influence “Silicon Valley” enjoys over “the distribution of news. And it similarly filters news delivery in ways favorable to the Democratic Party.” He cited Facebook’s and Twitter’s actions to suppress The New York Post‘s bombshell story about Joe Biden’s involvement with Hunter Biden’s notorious foreign deals.

 

“It should be borne in mind that the first step taken by any potential authoritarian or dictatorial regime is to gain control of communications, particularly the delivery of news,” Silberman argued. “It is fair to conclude, therefore, that one-party control of the press and media is a threat to a viable democracy. It may even give rise to countervailing extremism.”

 

More at:

https://pjmedia.com/uncategorized/tyler-o-neil/2021/03/21/leftist-media-bias-is-a-threat-to-democracy-judge-warns-in-scathing-dissent-n1433938

Anonymous ID: f9ca47 March 21, 2021, 12:40 p.m. No.13269681   🗄️.is 🔗kun

>>13269660

À l’origine Q Research General #16809 >>13269604

 

Parti pris des médias de gauche est une menace pour la démocratie, juge met en garde dans la dissidence cinglante

 

« Le pouvoir accru de la presse est si dangereux aujourd’hui parce que nous sommes très proches du contrôle d’un parti de ces institutions », a averti Silberman. « Notre cour s’inquiétait autrefois de la consolidation institutionnelle de la presse conduisant à un marché des idées « fade et homogène ». Il s’avère que la consolidation idéologique de la presse (aidée par la consolidation économique) est la menace beaucoup plus grande. »

« Bien que le parti pris contre le Parti républicain, et pas seulement les individus controversés, est assez choquant aujourd’hui, ce n’est pas nouveau; c’est une tendance laïque à long terme qui remonte au moins aux années 70. (je ne veux pas défendre ou critiquer le comportement d’un politicien en particulier). Deux des trois journaux les plus influents (du moins historiquement), le New York Times et le Washington Post, sont pratiquement des journaux du Parti démocrate. Et la section nouvelles du Wall Street Journal penche dans la même direction », a noté Silberman. Il a ajouté que ces documents fixent « l’orientation » de la couverture pour l’Associated Press et la plupart des grands journaux à travers le pays.

« Presque toute la télévision — réseau et câble — est une trompette du Parti démocrate », a ajouté le juge. « Même la radio publique nationale soutenue par le gouvernement suit. »

Silberman a également noté l’influence énorme « Silicon Valley » jouit sur « la distribution de nouvelles. Et il filtre également la diffusion des nouvelles d’une manière favorable au Parti démocrate. » Il a cité les actions de Facebook et Twitter pour supprimer l’histoire bombe du New York Post sur l’implication de Joe Biden dans les accords étrangers notoires de Hunter Biden.

« Il convient de garder à l’esprit que la première mesure prise par tout régime autoritaire ou dictatorial potentiel est de prendre le contrôle des communications, en particulier la livraison de nouvelles », a fait valoir Silberman. « Il est donc juste de conclure que le contrôle à parti unipartite de la presse et des médias est une menace pour une démocratie viable. Elle peut même donner lieu à une lutte contre l’extrémisme.

 

Plus à:

https://pjmedia.com/uncategorized/tyler-o-neil/2021/03/21/leftist-media-bias-is-a-threat-to-democracy-judge-warns-in-scathing-dissent-n1433938

Anonymous ID: f9ca47 March 21, 2021, 12:53 p.m. No.13269774   🗄️.is 🔗kun   >>9781

Originally Q Research General #16809 >>13269748

 

Biden Spending Millions per Day to Halt Border Wall Construction

 

The pause on construction of the border wall costs taxpayers about six million dollars per day while construction sites sit idle, Breitbart Texas learned from a senior Department of Homeland Security official. On Sunday, March 21, the 60-day pause in construction of the border wall is scheduled to end.

 

According to the source, the expenditures are required for materials orders placed before the pause and expenses for the cost of equipment sitting idle. When the issuance of a stop work order causes a contractor to idle equipment, they are entitled to be compensated for rental expenses or costs of ownership.

 

Shortly after taking office, President Biden signed an executive order temporarily halting any further progress on the border wall so individual contracts could be evaluated. With the exception of “make-safe” activities at the worksites, construction projects immediately came to a standstill, Breitbart Texas reported. The end of the 60-day pause does not, however, signal an automatic restart of construction.

 

Early in the pause, a spokesperson for the United States Army Corps of Engineers (USACE) informed Breitbart Texas that contractors would be informed of a final decision sometime after the 60-day pause concludes. The time was to be used for evaluating each contract to reach a decision to terminate-for-cause or continue.

 

The Biden administration has not indicated which direction they will take regarding the end of the pause. Little information concerning the immigration crisis on the border has come from the leadership team within DHS and U.S. Customs and Border Protection. Senior officials within DHS reported being instructed not to speak to national media on the issues facing DHS at the border. Information from other agencies within the new administration is equally elusive. USACE did not respond to a request for information concerning the end of the pause and the border wall contracts currently being evaluated.

 

As the deadline looms for a decision to be reached, equipment still sits idle. In Eagle Pass, Texas, a 51.9-million-dollar fence contract hangs in the balance. The equipment gathers dust and the contractor still awaits a decision. Other problems appearing along the border may be taking precedent over the status of the border wall contracts.

 

In recent days, the Secretary of DHS, Alejandro Mayorkas has said “We are on pace to encounter more individuals on the southwest border than we have in the last 20 years,”. In addition to the surge of migrants that are being apprehended along the border, a significant amount of illegal migrant traffic is also avoiding arrest. The administration was also not prepared for the onslaught of unaccompanied children crossing the border as policy changes were being made.

 

In addition to the daily expenses related to the pause of border wall construction, additional costs to taxpayers are likely on the horizon if the administration does decide to close out the contracts permanently.

 

https://www.breitbart.com/border/2021/03/21/exclusive-biden-spending-millions-per-day-to-halt-border-wall-construction/

Anonymous ID: f9ca47 March 21, 2021, 12:54 p.m. No.13269781   🗄️.is 🔗kun

>>13269774

 

À l’origine Q Research General #16809 >>13269748

 

Biden dépense des millions par jour pour arrêter la construction de murs frontaliers

 

La pause sur la construction du mur frontalier coûte aux contribuables environ six millions de dollars par jour tandis que les chantiers de construction restent inactifs, Breitbart Texas a appris d’un haut fonctionnaire du département de la Sécurité intérieure. Le dimanche 21 mars, la pause de 60 jours dans la construction du mur frontalier devrait prendre fin.

Selon la source, les dépenses sont nécessaires pour les commandes de matériaux passées avant la pause et les dépenses pour le coût de l’équipement resté inactif. Lorsque la délivrance d’une ordonnance d’arrêt de travail amène un entrepreneur à faire tourner au ralenti l’équipement, il a le droit d’être indemnisé pour les frais de location ou les coûts de propriété.

Peu après sa prise de fonction, le président Biden a signé un décret arrêtant temporairement toute nouvelle progression sur le mur frontalier afin que les contrats individuels puissent être évalués. À l’exception des activités « de sécurité » sur les chantiers, les projets de construction se sont immédiatement immobilisés, a indiqué Breitbart Texas. La fin de la pause de 60 jours ne signale toutefois pas un redémarrage automatique de la construction.

Au début de la pause, un porte-parole de l’United States Army Corps of Engineers (USACE) a informé Breitbart Texas que les entrepreneurs seraient informés d’une décision finale quelque temps après la pause de 60 jours se termine. Le temps devait être utilisé pour évaluer chaque contrat afin de prendre une décision de résilier pour cause ou de continuer.

L’administration Biden n’a pas indiqué quelle direction elle prendrait en ce qui concerne la fin de la pause. Peu d’informations sur la crise de l’immigration à la frontière proviennent de l’équipe de direction du DHS et des Douanes et de la Protection des frontières des États-Unis. De hauts responsables du DHS ont indiqué avoir reçu l’ordre de ne pas parler aux médias nationaux des problèmes auxquels le DHS est confronté à la frontière. L’information provenant d’autres organismes de la nouvelle administration est tout aussi insaisissable. L’USACE n’a pas répondu à une demande d’information concernant la fin de la pause et les contrats sur les murs frontaliers en cours d’évaluation.

Alors que la date limite se profile pour qu’une décision soit prise, l’équipement reste inactif. À Eagle Pass, au Texas, un contrat de clôture de 51,9 millions de dollars est en jeu. L’équipement recueille la poussière et l’entrepreneur attend toujours une décision. D’autres problèmes apparaissent le long de la frontière peuvent créer un précédent sur l’état des contrats de murs frontaliers.

Ces derniers jours, le secrétaire du DHS, Alejandro Mayorkas, a déclaré : « Nous sommes sur le rythme pour rencontrer plus d’individus à la frontière sud-ouest qu’au cours des 20 dernières années ». Outre l’afflux de migrants appréhendés le long de la frontière, une quantité importante de trafic illégal de migrants évite également d’être arrêté. L’administration n’était pas non plus préparée à l’assaut d’enfants non accompagnés qui traversaient la frontière au fur et à mesure que des changements de politique étaient apportés.

En plus des dépenses quotidiennes liées à la pause de la construction de murs frontaliers, des coûts supplémentaires pour les contribuables sont probables à l’horizon si l’administration décide de fermer définitivement les contrats.

 

https://www.breitbart.com/border/2021/03/21/exclusive-biden-spending-millions-per-day-to-halt-border-wall-construction/

Anonymous ID: f9ca47 March 21, 2021, 1:19 p.m. No.13269940   🗄️.is 🔗kun

Final

Les Notables ne sont pas des avenants

 

#3

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