Anonymous ID: fddedd June 4, 2020, 8:45 a.m. No.9465239   🗄️.is 🔗kun   >>5253

>>9446222

 

(Please read from the start)

 

I usually use Wikipedia as a general knowledge Encyclopedia online to give anons a super quick read on a subject in general, so they can get easily acquainted with it. For quick knowledge I usually go to Larousse or Bordas encyclopedias but they are in French; For English readers, well Britannica has changed. So if anons know any good, quick encyclopedia to read from, just to get the general knowledge, that will do. For ancient Egyptian civilization, I’m NOT going to use Wikipedia.

 

Around 2 decades ago, an acquaintance of mine, an Egyptologist, gave me this book as a gift. I have relied on it ever since when it comes to Ancient Egypt. It’s a very well formed, quick guide to ancient Egyptian civilization, very practical, giving you the information in a very summarized way along with supporting pictures. Not a fancy and elaborated book, but very useful and practical one. So this is what I’m going to rely on to talk about Ancient Egyptian Civilization in my next part. Since I have the French Edition, I’m going to type the text as it is from the book, then put a translation of the same text in English after it.

 

The later periods do not interest me because they don’t bring any NEW information for the goal of this research. This is why I’m only going to put the “earliest period” = pre-dynastic era. The further we go down the line, the further we are away from the point of origin; while the other way gets us closer to the Flood and the survivors.

 

The first 2 paragraphs of the introduction correspond to the period of interest in this research – In French:

 

“Les anciens Eyptiens nous semblent porteurs d’une civilisation supérieure venue d’un autre monde. Dans la période où les peuples de la terre sortaient péniblement de l’âge de pierre, avec des cultures de même niveau, le peuple égyptien nait adulte. Très tôt, il franchit les limites des possibilités humaines d’il y a six mille ans, comme formé par des expériences vécues dans un autre monde pourvu déjà d’une civilisation avancée.

 

Ainsi commence sur la terre arrosée par le Nil, une expérience unique. En quelques siècles, celle-ci se développe vertigineusement, en créant des oeuvres artistiques et scientifiques très en avance sur leur temps. La réalisation de la pyramide de Khéops, alors que l’on connissait ni le fer ni la roue, reste aujourd’hui un mystère. Nous sommes encore plus déconcertés en considérant qu’avant la réalisation de la Grande Pyramide, les Egyptiens avaient une technique et une organisation capables d’endiguer sur des milliers de kilomètres les crues du Nil et de transformer la terre marécageuse et le désert en un nouveau paradis terrestre! En considérant les durées de développement des autres peuples, dont certains sont demeurés à l’ère néolithique jusqu’à nos jours, on a le sentiment que le peuple de la “planète Egypte” a deux mille ans d’avance sur l’histoire du monde.”

 

  • Page 77 –

Anonymous ID: fddedd June 4, 2020, 8:47 a.m. No.9465253   🗄️.is 🔗kun   >>5263

>>9465239

 

(Please read from the start)

 

English translation of the above:

 

“The ancient Egyptians seem to us to carry a superior civilization from another world. In the period when the peoples of the earth painfully exited the Stone Age, with cultures of the same level, the Egyptian people were born adults. Very early on, he crossed the limits of human possibilities six thousand years ago, as if formed by experiences lived in another world already endowed with an advanced civilization.

 

Thus begins on the earth watered by the Nile, a unique experience. In a few centuries, it developed vertiginously, creating artistic and scientific works far ahead of their time. The realization of the pyramid of Cheops, while we knew neither the iron nor the wheel, remains today a mystery. We are even more disconcerted by considering that before the realization of the Great Pyramid, the Egyptians had a technique and an organization capable of stemming for thousands of kilometers the floods of the Nile and transforming the swampy land and the desert into a new Heaven on Earth! Considering the development periods of other peoples, some of whom have remained in the Neolithic era to the present day, one has the feeling that the people of the “planet Egypt” are two thousand years ahead of the history of the world.”

 

>> Clear hints about a civilization before our current known history.

 

The part that I mentioned earlier – in French:

 

“ Naissance d’une civilisation : Avant les Pharaons.

 

Avant que n’explose la civilisation égyptienne, à l’ère paléolithique, la mer Méditerranée était coupée en deux grands bassins par une langue de terre qui unissait la Tunisie et l’Italie en passant par l’île de Malte. Un immense anneau de forêts l’entourait de tous côtés et à la place du Nil il y avait une chaîne de vastes langunes et de forêts disséminées jusqu’à la mer. La faune européenne se mélangeait à celle de l’Afrique du Nord; des races méditerranéennes alpines, mêlées aux races somaliennes et berbères, vivaient dans une sorte d’Eden sans frontières.

 

Un cataclysme indéterminé, entre 10 000 et 8 000 av. J.-C., provoque des changements radicaux: le pont entre la Tunisie et l’Italie s’affaisse, ne laissant que les îles maltaises; en Afrique du Nord les immenses forêts se raréfient peu à peu; les lagunes détruites disparaissent en faisant place à des déserts de rochers et de sable. Le Nil commence à prendre son visage pour se révéler comme un gigantesque serpent, qui du coeur de l’Afrique, descend sue des milliers de kilomètres le long de la mer Rouge jusqu’à ce qu’il retrouve la mer Méditerranée.

 

Entre 8 000 et 5 000 av. J.-C., de continuelles immigrations et émigrations se produisent le long de la Haute et de la Basse-Egypte: ce sont des peuples provenant de l’Asie, du centre de l’Afrique et de l’Occident, survivants, peut-être, de la légendaire Atlantide. Mais la terre du Nil devient de moins en moins hospitalière, parce que l’étau du désert se resserre implacablement et que la crue du grand fleuve efface dans un marécage boueux chanque lambeau de terre habitable. Et voilà qu’au cours du IVe millénaire se développe un peuple extraordinaire, capable de régulariser les eaux fangeuses sur des kilomètres, de coordonner les travaux agricoles sur des milliers d’hectares, de créer des bourgades et des villes, donnant ainsi l’élan à la plus vaste société organisée qui ait jamais existé. Bien pâles sont les reflets d’expériences semblables, que l’on ne trouve d’ailleurs qu’en Mésopotamie (Uruk, Ur, Lagash); et il n’est pas possible non plus d’identifier les origines sinon en retournant au continent perdu de l’Atlantide imaginée, trois milles ans après, par Platon.”

 

  • Page 78 –

Anonymous ID: fddedd June 4, 2020, 8:48 a.m. No.9465263   🗄️.is 🔗kun   >>5271

>>9465253

 

(Please read from the start)

 

“ Les Egyptiens eux-mêmes affirment que leur histoire commence avec le règne d’Osiris et qu’avant lui il y avaint déjà eu trois grands règnes divins: le règne de l’Air Shou; le règne de l’Esprit Rê, le règne de la Terre Geb. Dans ces règnes semblent esquissées les ères précédant la nôtre et dans celui de Geb, l’ère de l’Atlantide. Osiris, le dieu-roi et homme, est évoqué comme un homme d’une bonté et d’une sagesse infinies, qui réunit toutes les tribus nomades et leur enseigne à transformer les dégats des inondations en bienfaits, à repousser la destruction du désert par l’irrigation et le travail de la terre et, en particulier la culture du blé pour en faire de la farine et du pain, de la vigne pour faire le vin, de l’orge pour en tirer la bière. Osiris initie aussi les nomades à l’extraction et au travail des métaux et, avec le sage Thor, leur enseigne l’éciture et l’art. Sa mission accomplie, il laisse sur le trône sa compagne aimée et collaboratrice, Isis, et part pour l’Orient (Mésopotamie) pour instruire tous les peuples. A son retour, son frère Seth, l’attire dans un guet-apens, le tue, s’empare du trône et éparpille les membres du cadavre dans toute l’Egypte. Isis, boulversée de douleur, part à la recherche de son époux bien-aimé, par une inspiration divine réussit à retrouver les restes et avec l’aide du fidèle Anubis le recompose. Et voilà le miracle: grâce aux larmes de son inconsolable épouse, Osiris ressucite et monte au ciel après lui avoir laissé un fils, Horus. Devenu adulte, après une lutte longue et incertaine, Horus abat définitivement l’usurpateur et reprend l’oeuvre de son père Osiris.

 

Cette aurore, dans laquelle histoire et légende se confondent avec les images de l’Atlantide ou de la “planète Egypte”, est attestée par ce monument hors du temps et unique qu’est le Grand Sphinx.

 

Le Sphinx est attribué à Khéphren (vers 2550 av. J.-C.), mais aucun élément technique, architectonique, ni même de continuité logique ne le rattache à la Grande Pyramide ni aux monuments de ce Pharaon. La représentation du corps de lion avec la tête humaine renverse toute les visions des dieux, avec un corps humain et une tête d’animal (léonine dans le premier couple), et accentue le mystère de cet idéogramme colossal: monument de l’ancien peuple à son premier et grand roi Osiris, pierre militaire entre vie terrestre et vie céleste?

 

Le peuple élu d’il y a six mille ans se divise en deux grandes zones aux caractéristiques contrastées: la Haute-Egypte, le long du Nil qui du Sud s’écoule vers le nord sur des centaines de kilomètres; et de la Basse-Egypte, le long des innombrables canaux du Delta, qui s’étendent sur environ 150 kilomètres.

 

La Haute-Egypte, c’est-à-dire l’Egypte au sud du Sphinx, a une bande de terre de plus en plus étroite et moins généreuse; et avec l’accroissement des difficultés de vie se développe aussi le besoin de s’enfermer en sociétés préoccupées surtout de problèmes internes.

 

La Basse-Egypte au contraire est une terre généreuse, don’t la population dense est en contact continuel avec d’autres peuples par une infinité de voies qui favorisent toujours davantage les activités mercantiles et maritimes et, en conséquence, la floraison de communautés ouvertes, se suffisant à elles-mêmes, et en fermentation continuelle.

 

Les groupes d’habitation ou de travail se développent surtout dans la Basse-Egypte; et ils se distinguent tous par leurs symboles propres qui s’identifient avec la division personnelle de leur dieu unique et deviennent l’emblème de la famille dominante.”

 

  • Page 79 –

Anonymous ID: fddedd June 4, 2020, 8:48 a.m. No.9465271   🗄️.is 🔗kun   >>5279

>>9465263

 

(Please read from the start)

 

“Les premières agglomérations urbaines que nous connaissons sont bien celles de la Basse-Egypte, où environ 22 villes ont déjà leur “oint”, c’est-à-dire le roi consacré par l’onction de l’huile sacrée et décoré de la plume libyenne. Saïs et encore plus Métellis sont les premières villes dont la prédominance s’exerce sur tout le Delta. Métellis est le grand centre où arrivent l’or de la Nubie (1 500 km au sud) et le bois de la Syrie (1 000 km au nord).

 

Létopolis, née aux pieds du Sphinx, et en conséquence la ville charnière entre la Basse et la Haute Egypte, succède aux autres dans le domaine stratégique et commercial de la Basse-Egypte.

 

A égalité avec la puissance politique on voit croître la puissance religieuse, intimement liée à toutes les activités du temps. Ainsi, avec la croissance de Létopolis, le vieux sanctuaire qui s’élève en face devient une cité sacrée. Cette cité que plus tard les Grecs appelleront Héliopolis (“ville du soleil”), devient le pivot de l’unité religieuse et donc sociale. Avec la nécessité d’unifier les normes et les mesures pour tous les trafics commerciaux entre Haute et Basse-Egypte, l’unification des cultes religieux est profondément ressentie, du rest, par tous les Egyptiens.

 

Dans le très ancien sanctuaire, témoin peut-être du règne d’Osiris, était vénéré à l’origine le couple divin engendré par la mère-terre primordiale, à savoir Shou et Tefnout, tous deux représentés avec un corps humain et une tête de lion, c’est-à-dire, l’image retournée du Sphinx.

 

Autour de ce premier couple se rassemblent tous les dieux des autres “nomes” comme les membres épars d’un dieu unique.

 

L’axe du pouvoir se déplace ensuite vers la cité de Bouto. Avec le royaume de Bouto nous avons le premier “nome” de l’histoire et précisément celui d’Andjty “le protecteur”, l’homme nouveau qui prend le pouvoir par la volonté du peuple. Avec Andjty nous avons aussi la première vraie domination de la Basse-Egypte avec l’accroissement du culte agraire, c’est-à-dire du culte d’Osiris. La capitale prend le nom de “ville d’Osiris”. La royauté du souverain, comme descendant et représentant légitime d’Osiris, est consacrée à Héliopolis; et se voit mise à l’épreuve et confirmée par les fêtes du Jubilé du souverain, c’est-à-dire trente ans après sa consécration (plus tard on appellera ce Jubilé la fête de l’heb-sed). Ainsi, avant la fin du IVe millénaire, Héliopolis assume la charge historique et légitimer, sous forme d’oracle, les souverains d’Egypte.

 

Vient ensuite le royaume de Busiris qui s’étend vers le Sud et crée de nouvelles villes parmi lesquelles la ville-sanctuaire d’Abydos, centre consacré au culte osirien. Avec tendance vers la Moyenne et la Haute-Egypte, le centre du pouvoir revient de nouveau à Létopolis et les nouveaux rois sont élus par le dieu Osiris lui-même, c’est-à-dire par les prêtres le représentant; par cette éléction directe ces rois se trouvent identifiées au dieu lui-même: leur emblème est le faucon sacré.

 

Les échanges commerciaux, en progrès dans la Méditerranée, apportent de nouvelles richesses et une nouvelle puissance et les villes du Delta se rendent très vite indépendantes. Ce démembrement favorise de nouveau la domination de Bouto qui supplante Létopolis, élimine les ingérences de Saïs et soumet les faibles républiques à peine nées.”

 

  • Page 80 –

Anonymous ID: fddedd June 4, 2020, 8:49 a.m. No.9465279   🗄️.is 🔗kun   >>5286

>>9465271

 

(Please read from the start)

 

“Les rois de Bouto seont toujours sacrés à Héliopolis. Leur pouvoir devient héréditaire et seulement soumis à la justice divine; et ainsi soustrait à tout jugement, devient un pouvoir absolu. Les prêtres d’Héliopolis ont le devoir de sanctionner la nomination et de juger post mortem si le roi a été digne ou non de devenir une divinité. Avec l’affirmation du pouvoir absolu naissent aussi des organismes administratifs et juridiques adéquats, et en particulier ceux qui concernent les ouvrages publics et les services domainaux et financiers, avec les relèvements et les recensements “de l’or et des champs” et en conséquence l’institution d’un gigantesque cadastre de tout le royaume, plein de registres et d’inventaires.

 

Avec le second royaume de Bouto s’accroissent les voies commerciales dans la Méditérranée; c’est le début de véritables colonies à Crète et à Byblos (où l’on construit un temple consacré à la déesse Isis) et en Haute-Egypte, où (à Coptos) on a des contacts directs avec les caravanes provenant de la mer Rouge, ou avec les Nubiens qui apportent de l’or, de l’ébène et de l’ivoire. Bouto devient une ville puissante, ceinte de murs munis de tours, avec des temples et des palais, couverts de voutes en berceau cachées, d’où émergent de hautes antennes avec des drapeaux en ruban.

 

Le développement des évènements est plus lent en Haute-Egypte. Coptos, Edfou, Eléphantine, Tentyris, Oxyrhyncos, sont les villes les plus importantes du IVe millénaire. Elles adhèrent à une confédération don’t la tête est à Noubt (Ombos), où sont sacrés les princes. L’étendard commun a pour signe le crocodile qui souvent s’identifie au dieu Seth. La vie est fondée sur la force, l’agressivité et le courage, qualifiés indispensables pour surmonter les difficultés de chaque jour. Pourtant, les rapports avec les frères plus fortunés de la Basse-Egypte pour en obtenir les produits indispensables sont une cause de difficultés et de problèmes, car leurs infiltrations dangereuses doivent être repoussées en des conflits continuels. Le champs de bataille est la terre de la Moyenne-Egypte, autrefois terre fertinle de tous, toujours plus parsemée de centres agricoles et fluviaux qui, d’évidence, se tournent davantage vers la Basse que vers la Haute-Egypte et créent leur propre confédération sous la protection de la déesse Hathor, vénérée comme mère ou épouse d’Horus.

 

Cette confédération hathorienne – en laquelle prospèrent des villes comme Assiout, Abudos, On, Cusae, Kazah – subit de graves attaques de la Haute-Egypte. Mais, avec le puissant royaume de Bouto, elle remporte une victoire qui sera commémorée durant le IIIe millénaire comme celle d’Horus sur Seth. Avec la victoire des Hathoriens les villes de Panopolis et de Coptos se rebellent et prennent la tête de la révolution politique et religieuse de tous les fiefs du Sud, répandant partout le culte du dieu populaire Min. La ville de Nekhen devient ensuite le siège du souverain de la Haute-Egypte, non plus désigné par les familles des feudataires mais nommé par acclamation du peuple et avec l’appui de la lointaine Bouto.”

 

  • Page 81 –

Anonymous ID: fddedd June 4, 2020, 8:50 a.m. No.9465286   🗄️.is 🔗kun   >>5296

>>9465279

 

(Please read from the start)

 

Cette longa manus de la Basse-Egypte mène très vite à confondre le dieu Min avec le dieu Horus. Les princes de Noubt sont désormais les vassaux du nouveau roi et du nouveau dieu. Le roi de la Haute-Egypte descend à Héliopolis pour être sacré. En face de Nekhen s’élève la ville sainte de Nekheb consacrée à la déesse mere Nekhbet, avec les signes du serpent et du vautour; le roi de la Haute-Egypte orne sa couronne blanche du serpent de la déesse et sa fête se renouvelle chaque printemps avec celle d’Horus-Min. Au cours de cette fête, le roi offre au dieu les prémices de ces champs et immole un taureau blanc pour assurer la fécondité de la terre et la renaissance de la vie.

 

Le dieu original Seth est désormais définitivement dethrone; les temps sont mûrs pour une union politique et religieuse après mille ans de rivalité et d’isolement, mais ce grand évènement n’est pas, comme tout le faisait prévoir, realize pacifiquement par la Basse-Egypte, mais belliquesement, par la Haute-Egypte. En effet, le roi de Nekhen, poussé par le conseil des “Dix Grands du Sud”, de détache progressivement de l’influence du royaume de Bouto, de nouveau en regression du fait de la nature individualiste des villes du Delta et des pressions exercées sur les frontiers par les “gens de l’arc”, peuplades de l’Asie occidentale attires par les richesses de la Basse-Egypte.

 

Le roi de Nekhen, enfin, déplace la capital à Abydos (This), et – sous prétexte de la libérer de la grave menace – envahit les terres du Delta. Chaque foyer de résistance est noyé dans le sang; la très ancienne ville de Mendès est détruite; Métellis, qui tente de prendre la tête de l’ultime rebellion, est conquise et démantelée; et les dix plus importants citoyens sont décapités par Narmer roi de la Haute-Egypte, rouge aussi du sang de ses frères tués. Le IVe millénaire est terminé, c’est le début de la Ier dynastie et, avec elle, pour nous l’Histoire Officielle.”

 

Next I’m going to put the English translation along with supporting documents and comments from me when need be:

 

  • Page 82 –

Anonymous ID: fddedd June 4, 2020, 8:51 a.m. No.9465296   🗄️.is 🔗kun   >>4874

>>9465286

 

(Please read from the start)

 

“Birth of a civilization: Before the Pharaohs.

 

Before the explosion of Egyptian civilization, in the Paleolithic era, the Mediterranean Sea was cut into two large basins by a tongue of land that united Tunisia and Italy via the island of Malta. A huge ring of forest surrounded it on all sides and in place of the Nile there was a chain of vast lagoons and forests scattered all the way to the sea. The European fauna mixed with that of North Africa; Mediterranean Alpine races, mixed with Somali and Berber races, lived in a kind of Eden without borders.”

 

>> As anons can see, I’ve put a map from Google of that underwater terrain that is now submerged. I even tried to look at the Sea floor to see if there are any traces of structures, like maybe, just maybe pyramids or other “strange” stuff but I wasn’t lucky, I kept on getting blurry images. It’s a wild idea, I guess but the reason behind it is actually the Knights of Malta. Why are the bloodlines that “attached” to the Island of Malta? That tiny place in the middle of a sea, what’s so important about it? For those whom already know about this, they already guessed it’s connected to the Templars and the Holy Grail. But I want to know WHY this place out of all the islands in the Med Sea: WHY this tiny place out of nowhere? I think the answer might lie under water. I wish I could have found it but I couldn’t. I’m curious to know what’s down there.

 

“An undetermined cataclysm, between 10,000 and 8,000 BC., causes radical changes: the bridge between Tunisia and Italy collapses, leaving only the Maltese Islands; in North Africa the immense forests are gradually becoming scarce; the destroyed lagoons disappear making way for deserts of rocks and sand. The Nile begins to take its face to reveal itself as a gigantic snake, which from the heart of Africa, descends for thousands of kilometers along the Red Sea until it finds the Mediterranean Sea.”

 

>> So a cataclysmic event took place according to this book from around 10 to 8 thousands B.C. that ended with this piece of land being underwater. Interesting! So does this mean the cataclysmic event has something to do with water? As in displacing huge quantities of water? Something… MAYBE… like a FLOOD?

 

“Between 8,000 and 5,000 B.C., continual immigration and emigration occurred along Upper and Lower Egypt: they are peoples from Asia, central Africa and the West, survivors, maybe, of the legendary Atlantis. But the land of the Nile is becoming less and less hospitable, because the vice of the desert is relentlessly tightening and the flood of the great river is erasing in a muddy swamp every scrap of habitable land. And now, during the 4th millennium, an extraordinary people developed, capable of regulating muddy waters over kilometers, of coordinating agricultural work on thousands of hectares, of creating towns and cities, thus giving impetus to the largest organized society that has ever existed. Very pale are the reflections of similar experiences, which can only be found in Mesopotamia (Uruk, Ur, Lagash); nor is it possible to identify the origins except by returning to the lost continent of Atlantis imagined, three thousand years later, by Plato.”

 

>> In this section, they are hinting at comparing the structure of Mesopotamian civilization with the Ancient Egyptian one. By that, they mean that Irrigation, Terrain transformation, Urban development and Agricultural methods = those are the fields where the comparison and study should be conducted. And then they are explicitly saying that this advanced knowledge - not primitive - might have come from the legendary Atlantis, used and applied by the survivors. Just stop there anons and think about this deep. Then please read again this part. A lot of people, including anons go for the most obvious comparison point between the Sumerians and the Ancient Egyptians = Ziggurats versus Pyramids – But did anyone think of conducting a very deep research on the fields mentioned just now in the comment? (= agriculture, urbanism etc.). You didn’t think I put all of those Wikipedia pages just to bore anons do you? They are there to show you where you need to dig. And yes, I’ve also detected MANY BIG WAVES of MIGRATION all over Asia Minor, Middle East and Egypt in the same time frame mentioned. It’s way too complex and intertwined, I barely scratched the surface of it. Retracing and uncovering the migrations from back then is a task impossible for a single man to uncover with limited resources and time. It needs a team and funds along with international relations because of the geographic spread of it all.

 

  • Page 83 –