Anonymous ID: 27cb33 May 25, 2020, 12:01 p.m. No.9311666   🗄️.is 🔗kun   >>1682 >>1695 >>2114 >>2124 >>2308 >>2373

The French Institute Mediteranee's response to the Lancet's study arriving at the conclusion that HCQ is not effective.

 

https://www.mediterranee-infection.com/a-propos-de-lefficacite-clinique-des-derives-de-la-chloroquine-dans-linfection-a-covid-19-analyse-virtuelle-contre-monde-medical/

Anonymous ID: 27cb33 May 25, 2020, 12:02 p.m. No.9311682   🗄️.is 🔗kun   >>1703 >>1752

>>9311666

En français

 

A PROPOS DE L’EFFICACITÉ CLINIQUE DES DÉRIVÉS DE LA CHLOROQUINE DANS L’INFECTION À COVID-19 : ANALYSE VIRTUELLE CONTRE MONDE MÉDICAL

Accueil A propos de l’efficacité clinique des dérivés de la chloroquine dans l’infection à COVID-19 : Analyse virtuelle contre monde médical

25 mai 2020

Matthieu Million, Yanis Roussel, Didier Raoult

 

A propos de l’efficacité des dérivés de la chloroquine dans la prise en charge des infections à COVID19, nous avons été interpellés par les discordances majeures entre les résultats des différentes études publiées et notre expérience à l’IHU où 7800 ECG ont été réalisés chez 4000 malades. Afin de comprendre quels éléments pouvaient conduire à des résultats contradictoires, nous avons comparé les résultats des études réalisées par des cliniciens (monde réel) et celles réalisées par des analystes de base de données (monde virtuel du « Big data » – Figure 1, Supp Table). Les études cliniques utilisaient un protocole standardisé de traitement mentionnant dans les méthodes l’évaluation des contre-indications, la posologie quotidienne, les mesures adjuvantes et la durée du traitement avec au moins 48 h de traitement avant de pouvoir évaluer l’objectif. Par exemple, l’évaluation de la kaliémie et de l’électrocardiogramme est capitale avant la mise sous traitement, notamment quand le dérivé de la chloroquine est associée à l’azithromycine (Million, 2020). Dans le même temps, nous avons observé que les études virtuelles de « big data » ne mentionnaient pas ces éléments et considéraient de façon binaire la présence dans les dossiers électroniques de la prescription de chloroquine. Evidemment, le nombre de patients inclus dans les analyses de bases de données était très largement supérieur à celui inclus dans les études cliniques, car ces bases sont constituées à partir de milliers d’ « electronic medical file » (EMF). Comme nous l’avons déjà mentionné par le passé (Million, 2019), ce type d’étude a une puissance statistique colossale mais elles sont limitées par une inexactitude clinique qui rend leurs conclusions difficiles à croire. Dans la figure jointe, nous avons été surpris de constater que 5/5 études de big data concluaient à une inefficacité de la chloroquine et de ses dérivés. Utiliser le big data était significativement associé à des résultats concluant à une absence d’efficacité des dérivés de la chloroquine (p < .05).

 

L’une de ces études, publiée dans le Lancet, identifiait même une toxicité des dérivés de la chloroquine avec une mortalité multipliée par 3, et une toxicité cardiaque conduisant à une tachycardie ventriculaire chez 8% des patients (Mehra, 2020). Ici à l’IHU, nous avons traité et suivi nous-mêmes plus de 3500 patients par bithérapie (hydroxychloroquine + azithromycine) avec un protocole très détaillé (Million, 2020), nous n’avons jamais observé de mortalité et de toxicité cardiaque compatible avec les données rapportées dans cette étude s’appuyant sur des registres de dossiers de patients (Million, 2020). Sur plus de 1000 patients infectés non sélectionnés de tous âges traités par hydroxychloroquine + azithromycine selon un protocole thérapeutique standardisé détaillé (Million, 2020), 8 morts (74 à 95 ans) ont été identifiés (8/1061) avec 0% de mortalité avant 70 ans (0/995 – intervalle de confiance à 95% selon Wilson 0 – 3.73%) et une mortalité de 12% (8/66 – CI95% 6.3 – 22.1) chez ceux de 70 ans et plus. Aucune tachycardie ventriculaire de novo n’a été observée. Ces résultats ne sont pas compatibles (p<10-7) avec ceux rapporté par analyse d’une base de données récente (mortalité tous âges confondus, 1479/6221 – 23.8% – IC95% 22.7 à 24.8) (Mehra, 2020).

 

Nous communiquons aujourd’hui cette analyse très préliminaire pour permettre à chacun de juger avec les éléments qui semblent pertinents puisque, dans la vie réelle, nous ne traitons pas des bases de données mais des humains. Sans négliger le potentiel théorique du big data, il est temps de remettre l’expertise clinique au centre de la recherche médicale pour soigner de vraies personnes.

Anonymous ID: 27cb33 May 25, 2020, 12:09 p.m. No.9311752   🗄️.is 🔗kun   >>1796 >>1865 >>2142 >>2308

>>9311682

WHO CONCLUSIONS AND THE STUDY ARE SUSPECT

translated from French

ABOUT THE CLINICAL EFFICACY OF CHLOROQUINE DERIVATIVES IN COVID-19 INFECTION: VIRTUAL ANALYSIS AGAINST THE MEDICAL WORLD

Home About the clinical efficacy of chloroquine derivatives in COVID-19 infection: Virtual analysis against the medical world

May 25, 2020

Matthieu Million, Yanis Roussel, Didier Raoult

 

Regarding the efficacy of chloroquine derivatives in the management of COVID19 infections, we were challenged by the major discrepancies between the results of the various published studies and our experience at the IHU where 7800 ECGs were performed in 4000 patients. In order to understand which elements could lead to contradictory results, we compared the results of studies carried out by clinicians (real world) and those carried out by database analysts (virtual world of "Big data" - Figure 1, Supp Table). The clinical studies used a standardized treatment protocol mentioning in the methods the evaluation of contraindications, the daily dosage, the adjuvant measures and the duration of treatment with at least 48 h of treatment before being able to evaluate the objective.For example, the evaluation of serum potassium and the electrocardiogram is essential before starting treatment, especially when the chloroquine derivative is combined with azithromycin (Million, 2020). At the same time, we observed that virtual “big data” studies did not mention these elements and binaryly considered the presence in the electronic files of the prescription of chloroquine. Obviously, the number of patients included in the database analyzes was very much higher than that included in the clinical studies, since these databases are made up of thousands of electronic medical files (EMF). As we have mentioned in the past (Million, 2019),this type of study has colossal statistical power but they are limited by a clinical inaccuracy which makes their conclusions difficult to believe. In the attached figure, we were surprised to find that 5/5 big data studies concluded that chloroquine and its derivatives were ineffective. Using big data was significantly associated with results concluding that the chloroquine derivatives were ineffective (p <.05).

 

One of these studies, published in the Lancet,even identified a toxicity of chloroquine derivatives with a mortality multiplied by 3, and a cardiac toxicity leading to ventricular tachycardia in 8% of patients (Mehra, 2020). Here at the IHU, we have treated and followed more than 3,500 patients ourselves by dual therapy (hydroxychloroquine + azithromycin) with a very detailed protocol (Million, 2020), we have never observed mortality and cardiac toxicity compatible with the data reported in this study based on patient record registers (Million, 2020). On more than 1000 unselected infected patients of all ages treated with hydroxychloroquine + azithromycin according to a detailed standardized therapeutic protocol (Million, 2020),8 deaths (74 to 95 years) were identified (8/1061) with 0% mortality before 70 years (0/995 - 95% confidence interval according to Wilson 0 - 3.73%) and a mortality of 12% (8 / 66 - CI95% 6.3 - 22.1) in those aged 70 and over. No ventricular tachycardiade novo was observed. These results are not compatible (p <10 -7 ) with those reported by analysis of a recent database (mortality of all ages, 1479/6221 - 23.8% - 95% CI 22.7 to 24.8) (Mehra, 2020).

 

We are communicating today this very preliminary analysis to allow everyone to judge with the elements that seem relevant since, in real life, we are not dealing with databases but humans. Without neglecting the theoretical potential of big data, it is time to put clinical expertise back at the center of medical research to treat real people.

Anonymous ID: 27cb33 May 25, 2020, 12:14 p.m. No.9311796   🗄️.is 🔗kun   >>1865 >>2124

>>9311752

>As we have mentioned in the past (Million, 2019),this type of study has colossal statistical power but they are limited by a clinical inaccuracy which makes their conclusions difficult to believe.

 

WHO and canal cronies trying to manipulate data and outcomes of medical studies. grrrrree

Anonymous ID: 27cb33 May 25, 2020, 12:43 p.m. No.9312060   🗄️.is 🔗kun   >>2136 >>2366

>>9311804

Why these contradictions between the studies on hydroxychloroquine? Elements of response emerge when we note that the studies against this treatment are mainly studies carried out on databases, not on patients.

 

CRITIQUE OF LANCELET PAPER!

 

https://twitter.com/raoult_didier/status/1264908481255145472?s=20